Ma belle

Je l'ai aimé et je n'aimerai que personne.
Car cette flamme ne peut guère s'éteindre.
Même si le monde nous sépare et que flamme de l'enfer me brûle.
Ce week-end, je ne pensais guère vous voir.
Dans la recherche de ce dernier vêtue d'un affublement beige
Mais votre pelure n'est pas passée outre.
La beauté de celle-ci même dans cet uniforme,
Ne changera jamais la beauté et la joie
Que
cette dernière ma laissée en son égard.
Alexandre KEVBEL
Nous allons permettre à tous nos utilisateurs de partager les moments qui sont vécu dans leur vie, mais aussi de nous partagé certaine de leurs histoires quelle soit vrai ou créer de toute pièce.
Premier Poème

UNE NOUVELLE VIE
Dans l'innocent absolu traité de tout nom
L'âme demeure nocive dans cette période démonte.
Quelques sanglots nous rattachent à notre ancienne vie.
Sans doute une illumination de notre conscience
Notre vie demeure une vertu incalculable.
Mais leur action n'est guère reconnue.
Certain d'entre eux ne connaît pas ce sentiment.
Mais d'autre l'endure depuis des siècles
Cacher dans leur tombe froide et creuse
Ils finissent par se taire à jamais.
Sans rien dire à personne, mais
La solitude devient supportable.
Car c'est la seule vertu qui leur reste
Référence à Hunter X Hunter

Une page du précieux journal sera perdue.
Les lunes restantes célébreront ces funérailles avec panache.
Une grande tenue de deuil l'orchestre joueras sa mélodie.
Emportant novembre dans les hauteurs dans l'inquiétude et le répit
Les chrysanthèmes en fanant perdrons feuilles et pétales.
Sous le regard des yeux écarlate teinté de sang
Et ta suprématie restera totale bien qu'il ne te reste que la moitié de tes membres.
Les rideaux s'ouvre sur un plaisant intermède
Pourquoi ne pas trouver de nouveaux compagnons,
Si tu vas à leur rencontre choisie l'est
Tu trouveras sûrement quelle qu'un qui t'attend.
LE STRESS

Je la sens, je la vois, je l'entends.
Ce
que nous ne pouvons pas voir
Car certaines personnes n'y sont pas touchées
Mais
d'autre ne peuvent sont empêcher
De faire ce qui ne peut être retardé
Comment
est pourquoi ma belle ne peut.
Son défaire de cette atroce souffrance
Elle
vit quotidiennement avec beaucoup d'assurance.
Ce que les hommes appellent l'effort
Cela
cache derrière tout cela ce sentiment.
De ne pas pouvoir dire ce que l'en pense
N'y
penser à ce que l'on désire penser
Mais n'oubliant pas que certains sons déjà passés
Comme
d'autre qui vont l'affronter
Cette personne ou cette chose s'appelle le stresse.
UNE RENCONTRE MERVEILLEUSE

Aujourd'hui, je ne pus m'empêcher de penser à toi.
Depuis cette sombre nuit entourée de ses amis
Je ne vois que cette lumière qui s'émanait de nous.
Lorsque tu me demandais parfois des choses assez étranges
Mais cela n'est certes pas moins qu'un léger détail.
Face à ta beauté qui éclairait mes yeux de se filtre noir
Cette soirée, serait-elle l'unique chance de ma vie ?
D'avoir pour une fois le désire de m'attacher à quelqu'un
Mais celui-ci ne doit pas être pris à la légère.
Car toute chose a une fin alors
Je devais agir avant qui n'ont pas soit pas trop tard.
Cette fois, je ne laisserais pas ma belle.
Beauté partir sans avoir essayé
De la conquérir et ou de l'avoir aimé
L'OCEAN D'ÔPHELEIA

Une
âme pour deux celle-ci est éternelle,
Mais
l'autre vie sur la suprématie de la terre.
Cela,
est-il dû à l'apprivoisement du tien ou de celui qui ne
t'appartient pas.
Mais
la logique fait que celle-ci n'est guère à ma position.
Car
le ciel reflète la réalité des choses qui vous tracasse.
Nous
ne sommes que par fois une âme errante qui rôde sans but défini.
Au
fur et à mesure que le monde avance, nous avançons avec lui.
Car
il connaît un futur et une évolution infinis.
Ce là,
est-il la raison de notre venue, car nous n'agissons que par
connaissance de cause.
Mais l'humain tel que l'océan d'opheliea
nous cache certaines de ces aspects,
Dont nous on redoutant le
bien fait de ce dernier,
Ou le méfait de cette dernière
brumeuse.
TOMBERAI-JE UN JOUR
Le monde d'aujourd'hui

Dans les années deux mille, les enfants
Naissent avec certaines imperfections putrides
Celui-ci, est-il causé par l'absence de ces gardes
Ou de la facilité que Cela ne peut être on empêcher
Certains se renfermant dans leur pensée les plus gaie
Et d'autre, y reste jusqu'à leur éternelle suivie
Et demeure dans cette boîte que l'on appelle gsm
Il se meurt délicatement de leur sombre pensé .
Ces personnes viennent de l'an deux-mille
Car le subconscient tombe dans ces abîmes
Son aussi fort que ce de l'an deux-mille
Ces jeunes diantres ne peuvent que demeurer
Dans le manoir regorgé de follower qui ne pense
Qu'a buzz et rien que l'éducation de ces derniers
Ne sont que secondaire, mais cela et déjà trop tard
PEUX TU M'ARRÊTER D'ECRIRE

Car elle seule m'aide à me retrouver
Ce pendant ce dernier ne connaît point repos
Car la faille qu'elle créera, ce sera trop grand
Mais comment pourrais, tu me dire d'arrêter
Ce que j'aime faire n'est autre qu'une fiction.
Qu'elle soit basée sur des faits réels ou pas
Ce dernier ne peux qu'emporter le lecteur.
Mais toi qui lis mon œuvre serais tu un jour
L'un de nous qui rêve ou celui qui agit
De manière impulsive, mais cette dernière
Ne voyant pas les saisons passaient
Reflète l'âme de nos hivers datant.
Mais mon âme demeure nocif car
La compassion de l'être n'existe plus
LE DÉPART D'UN FRÈRE

Nous nous retrouverons peut-être un jour.
Mais ce jour-là nous aurions changé
Car l'éternelle n'existe pas et le renouveau
Nous permet de mieux nous connaître.
Mais cela est nécessaire, dirais-je parce que la volonté
L'emportera toujours sur la pensée.
Mon frère ou mes frères, nous nous retrouverons
Mais quand ce jour arrivera, nous marcherons.
Vers une aube que nul neptune ne connais
La direction de cette nouvelle traversée.
THE FOREST
La nuit ne voyant que l'obscurité de ton ombre
Cet aspect de toi nous effrayer lorsque ce dernier nous laisse sans voix
Mais tu ramenais dans nos profonds souvenirs enfuis dans notre subconscient.
L'être humain d'aujourd'hui est l'état du nouveau sauvage
Dont son évolution, nous faisons voir le contraire.
Mais ce dernier ne peut changer en trois millions d'années.
Car le passé nous rattrapera même dans les plus lointains souvenirs
Que nous gardons de notre ancienne vie.
De quoi demain sera fais, je me dirige vers ce néant.
La honte PCL
Pour elle, la honte n'est guère chose inconnue.
Reste dans l'âme sans nous prévenir.
Image de notre faiblesse sous-jacente
Succombé par la peur de l'humilié seule
Courir nous permet d'éviter ce carnage.
Indifférent de nos prochaines rencontres
La honte l'envahit petit à petit.
Les remords nous rattachent à cette dernière.
Aller vers l'avant nous s'est-il impossible
VICTIME D'UNE INJUSTICE
Ce soir de novembre broyé par le désespoir
Mais dans ses yeux un feu ardent brûlé
Seul dans cette tempête, je ne pus me retrouver.
Marchons en ayant l'image de votre sublime beauté.
Je ne pus m'avouer vaincu si facilement.
Quelques heures passèrent dans ces conditions.
En étant seul perdu dans un froid intense, en m'effaçant dans le temps
Sans me demander ce qui reste dans ce lieu, la permission
Devenir vous voir oh ma beauté, mon âme
Devant votre père, je ne pus m'empêcher.
De lui dire ce que je ressens pour vous
Mais dans ses yeux un feu ardent brûlé
Comme si la personne que je suis n'était guère à son goût
Père de toute beauté, ma foi, ne doit pas nuire au bonheur de sa fille.
Mais mère de toute vie connaît l'amour de ce dernier.
Peur de la perdre
Aujourd'hui, en me posant sur mon lit, j'ai repensé à la vie que je menais. Comment les gens me voyais et comment changer dans un futur proche. Dans cette vie comme dans la précédente, j'ai connu des personnes qui me permettaient tous les matins de me lever et d'être heureux. Cela par leur simple présence à mes côtés ou par leur caresse Infini et le simple fait de dire mon nom lorsque l'on se voit (L.O). Mais ces derniers jours la peur l'oubli de cette vie me submerge comme l'oubli de cette chaleur humaine qui me rendait heureux, chaque matin, lorsque je la voyais. Mais la vie est faite de haut et de bas, la perte de cette personne était inévitable. Mais l'amour de cette dernière restera gravé dans mon âme égard.